L'avis de Carole :

Un roman historique ou l’empathie et l’entraide sont mis en avant, les secrets sont bien gardés pour éviter les jugements et les commérages. La famille Roy va accueillir Agathe qui est rejetée par sa famille, tous spécialement par son père dû à une grossesse non désirée. Les Roy vont la présenter aux gens du village comme une parente qui vient aider Paule qui est enceinte. Celle-ci s’adapte bien et le mensonge passe inaperçu. À cette époque, comme c’était le curé qui gérait les familles, cette demande de charité est venue suite à la requête de sa sœur qui se trouve à l'orphelinat dans lequel Agathe a accouché. Edmond le voisin d’en face aimerait bien courtiser Agathe, veuf depuis peu, il va tenter de s’en approcher. Un peu maladroit, probablement dû à sa timidité, il est peu convaincant auprès d’Agathe qui elle n’attend que la grande demande. Une lettre venue des États-Unis où les parents d’Agathe demeurent depuis peu va venir changer les plans de celle-ci ainsi que ceux d’Edmond. L’avenir s’annonce différemment, si certain sont contents de voir partir Agathe d’autre se morfond de ne pas avoir agi assez rapidement. Un beau roman très bien écrit, la tourmente qui habite les personnages à cause des mensonges donne une belle intrigue à l’histoire.

Résumé :

En 1907, dans le village de Saint-Simon-des-Neiges, la famille Roy coule des jours paisibles. Leur routine est soudainement troublée quand le curé Boucher leur demande d’héberger pour un moment Agathe Senécal, une jeune fille qui vient d’accoucher clandestinement d’un enfant qu’elle a dû donner en adoption.

Le cœur sur la main, Paule Roy accepte de secourir l’infortunée et la sauve du déshonneur en la faisant passer pour une parente venue l’épauler pendant sa grossesse. La jeune Agathe est rapidement remarquée par Edmond, un voisin veuf qui s’éprend d’elle.

Pendant ce temps, à Saint-Rémy-de-Lérey, chez les Senécal, un événement inattendu force le clan à aller s’installer aux États-Unis. Agathe est alors déchirée entre son désir de retourner vivre avec les siens et son intérêt grandissant pour le bel Edmond qui, lentement mais sûrement, réussit à la charmer.

L'avis de Charlotte :

Je viens de terminer cette romance où l’amour côtoie la haine de manière plutôt perverse. Michael aime Rika depuis qu’elle est tout bébé, mais elle ne lui est pas destiné… Il devra subir de la voir grandir évoluée jusqu’à ce que le monde de Rika, qui est très attirée par Michael, rencontre le monde de ce dernier.

C’est un livre pas facile à lire, mais oh combien captivant

Résumé :

« Je l’ai lu deux fois – d’affilée… C’est la plus profonde, la plus sombre et la plus excitante aventure dans laquelle j’ai jamais été entrainée. » -Jay Crownover, auteur des series Bad et Marked Men

« Dark Romance est un chef d’œuvre. Penelope Douglas vous embarque vers les recoins les plus sombres de l’âme où peur et désir se mêlent. Captivant, intense et sexy, ce roman vous laissera étourdi… » - Helena Hunting, auteur de Bad Boy

Le grand début de la dark romance en France. Personne n'explore aussi bien la frontière entre la destruction et l'amour que Penelope Douglas. Un nom à retenir.

Leur amour peut les sauver… ou les détruire.

Michael Crist. Un nom qui fait frissonner chaque fille de notre petite communauté privilégiée de la côte Est. Moi comme les autres. Sauf que moi, ce n’est pas sa beauté à couper le souffle ou le fait qu’il soit riche et adulé qui me fascine – enfin, pas seulement. Non, moi, c’est la noirceur que je devine sous sa carapace dorée. La violence dans son regard noisette. Son mépris pour les règles, les lois, la morale. Ce miroir permanent de tout ce qui est noir et sombre au fond de moi. En dix-neuf ans, Michael ne m’a jamais jeté un regard. Mais, le jour où il s’intéresse à moi, je ne sais pas si je dois être excitée… ou terrifiée.

L'avis de Colette :

Le sujet de la thématique est « amour », mais je ne pensais pas lire un roman, où le personnage principal est atteint de dépendance affective. Disons que j’ai été servi par l’amour, tout au long de ma lecture. On retrouve un couple, où l’épouse est intense dans tout ce que l’on peut appeler, relation avec son mari. Elle analyse tous les faits et gestes, en se demandant continuellement, si son mari la trompe. Au début de la lecture, c’est quelquefois drôle, et l’on se retrouve soi-même dans les propos. Mais plus notre lecture avance, et plus on trouve l’épouse intense et lourde dans ses propos. Elle calcule l’heure d’arrivée à la maison, et si son mari à 5 minutes de retard, et bien, il y a anguille sous roche. Elle va donc passer la soirée à l'épier, au cas où elle découvrirait quelque chose. Elle tient même un calepin, où elle inscrit toutes les fautes de son mari, afin de lui faire payer. Ce qu’on apprend au fur et à mesure, c’est qu’elle est en amour fou avec son mari, depuis 15 ans, mais comme il ne met pas la même énergie qu’elle sur les petits détails, elle pense toujours qu’il va la quitter. Son comportement devient maladif à l’occasion, trop d’amour c’est comme pas assez. Pour ma part, j’ai trouvé ma lecture un peu longue, car tout était conté par la narratrice (l’épouse) et tout se passait dans sa tête. Il y a eu très peu d’échange dans l’histoire avec les autres personnages. Ce livre a reçu le prix du «Premier roman – Français 2021».

Résumé :

C’est une femme toujours amoureuse de son mari après quinze ans de vie commune. Ils forment un parfait couple de quadragénaires : deux enfants, une grande maison, la réussite sociale. Mais sous cet apparent bonheur conjugal, elle nourrit une passion exclusive à son égard. Cette beauté́ froide est le feu sous la glace. Lui semble se satisfaire d’une relation apaisée : ses baisers sont rapides, et le corps nu de sa femme ne l’émeut plus. Pour se prouver que son mari ne l’aime plus – ou pas assez – cette épouse se met à épier chacun de ses gestes comme autant de signes de désamour. Du lundi au dimanche, elle note méthodiquement ses « fautes », les peines à lui infliger, les pièges à lui tendre, elle le trompe pour le tester. Face aux autres femmes qui lui semblent toujours plus belles, il lui faut être la plus soignée, la plus parfaite, la plus désirable.

On rit, on s’effraie, on se projette et l’on ne sait sur quoi va déboucher ce face-à-face conjugal tant la tension monte à chaque page. Un premier roman extrêmement original et dérangeant.

L'avis de Lynda :

J’ai eu envie de relire un Nicholas Sparks, celui-ci même qu’il a une vingtaine d’années, sera toujours dans mes lectures préférées quand j’ai envie de quelque chose de léger et de beau, moi, du moins je ne me trompe pas avec Nicholas Sparks.

Allie et Noah, quelle belle histoire.

Peut-on imaginer, que Noah, cinquante ans après le début de leur histoire, est toujours auprès d’Allie, qui souffre d’Alzheimer. C’est toute une histoire d’amour, belle bouleversante, émouvante, le genre d’amour que tout le monde veut connaître dans sa vie.

Jour après jour, soir après soir, Noah raconte à sa femme qui a tout oublié leur belle histoire.

J’ai adoré les personnages, je crois que Noah un peu plus…

J’avais déjà lu le livre, j’ai regardé le film, et maintenant j’ai relu ce titre, et mon avis ne change pas.

C’est une des plus belles histoires d’amour à mon avis. L’amour, les retrouvailles, la maladie, la vieillesse, tout ce qu’il faut pour faire battre notre coeur un petit peu plus rapidement.

Résumé :

" Je suis un homme ordinaire, et j'ai mené une vie ordinaire. Aucun monument ne sera élevé à ma mémoire, et mon nom sera vite oubié. Mais j'ai aimé de tout mon cœur, de toute mon âme. "Telles sont les paroles de Noah. Allie et lui se sont connus alors qu'ils n'avaient que quatorze ans et depuis l'amour n'a jamais cessé de les unir. Cinquante ans ont passé. A présent, Noah veille sur Allie atteinte de la maladie d'Alzheimer. Lorsqu'elle a ressentie les premiers symptômes, elle lui fait une demande particulière : évoquer et revivre leur propre histoire...

L'avis de Martine :

Zakia et Ali, tout pouvait les séparer, leur religion, leurs familles, la loi afghane, leur tribu, mais pour ces deux êtres amoureux, tout devient impossible, concernant le besoin et le désir d'être ensemble. Ces deux jeunes ont grandi dans le même village et leur amitié va peu à peu se transformer en amour, le vrai. Dès qu'ils se déclarent leur amour, leurs pères se sont dressés contre eux, en leur interdisant d'être amoureux et surtout impossibles pour eux de leur donner leur bénédiction pour se marier.

Zakia et Ali n'ont pas eu d'autres choix que de s'enfuir afin de vivre leurs amours, ils vont vivre une aventure assez rocambolesque surtout qu'ils ont à leurs trousses le père et les frères de Zakia. Ali et Zakia affronteront les menaces de mort en se liant à une avocate d'un ONG et un journaliste américain qui trouve leur histoire personnelle et de leur détermination à prendre en main leur vie au nom de l'amour qu'il ressente l'un pour l'autre.

Ces deux amoureux deviennent un symbole de liberté et d'espoir pour les jeunes de leur communauté afghane. Une histoire intéressante, palpitante, intense qui met en avant le droit des femmes, le droit à la liberté, l'amour dans des régions qui vivent avec des traditions intergénérationnelles difficiles ou les droits humains ne sont pas toujours respectés. Une belle lecture, une histoire vraie percutante, tout en étant un espoir pour la jeunesse afghane.

Résumé :

Zakia et Ali, deux jeunes afghans, elle sunnite et lui chiite, s'aiment malgré l'interdiction de leurs familles. Poursuivis, ils sont menacés de mort puis Ali est capturé et jugé. Racontée dans les colonnes du New York Times, leur histoire est également un témoignage sur les droits des femmes et la résistance de leur génération aux traditions et à la loi islamique. 

L'avis de Micheline:

Dès le prologue, j’ai été jetée à terre. J’ai savouré chaque mot d'un texte au vocabulaire riche et précis. À travers chaque page, j'ai vu l’histoire se dérouler comme si j’y étais. Dans cette romance historique, j’ai pu voyager dans l’Angleterre du 18e siècle et évoluer dans une communauté de gitans vivant en marge d’une « bonne société » qui les considère comme des contrebandiers et des voleurs. Le clan Hill est dirigé d’une main de fer dans un gant de velours par une femme, Cassidy. Elle est droite, fière, responsable et brillante. Cette passionnée se tient debout, gère des têtes fortes et rectifie le tir quand les situations tournent à l’aigre. C’est en corrigeant une bourde de son groupe qu’elle rencontre Alexander Winchester, avocat désillusionné qui revient au pays après des mois de débauche à Paris. Après une attaque sur la route, l’homme est amnésique…

Quel grand amour que celui de l'intuitive Cassidy qui a écouté les signes que ce soit du tarot, de son talisman ou des rêves, et qui a tendu la main à un inconnu et d’Alexander, le plus jeune de la fratrie Winchester, qui fait fi des préjugés. Il est viril et beau, ouvert et juste, protecteur et bienveillant. La séduction et la passion sont au rendez-vous dans une histoire aux multiples rebondissements brillamment orchestrés comme des embuscades, des duels, des virées en prison ou dans des tavernes. J'ai aussi adoré l’exotisme des gitans, avec son herboristerie, ses airs de guitare, ses danses autour du feu et l’aspect magique.

Si vous voulez vivre la rencontre de deux âmes sœurs que rien ne prédestinait pourtant à se rejoindre, il vous faut lire ce roman. Je le recommande chaudement. Inconditionnellement.

Résumé :

Angleterre, 1758

Après un séjour de six mois à Paris, Alexander Winchester prend le chemin de retour vers chez lui, à Badminton House. En route, il est attaqué et perd conscience. C’est dans les bras de Cassidy Hill, une mystérieuse gipsy, qu’il retrouve ses esprits… mais pas sa mémoire.

Malgré son amnésie, Alexander est indéniablement attiré par les charmes de cette femme énigmatique. Il sera prêt à tout pour la libérer des griffes de l’homme le plus puissant de Maidstone qui la tient sous son joug… même à aller à l’encontre des conventions, s’il le faut.